Hôtel Gouthière, salle Marivaux - tous les jours du 9 juillet au 9 août 2009 à 19h
Cocteau s’empare de ce couple mythique et nous entraîne dans un ouragan wagnérien où les figures d’Ulysse, d’Orphée, d’Œdipe, des Amazones, s’entremêlent pour nous mener au terme du voyage amoureux, véritable conte initiatique.
Mise en scène : Jean-Louis BIHOREAU
Assistante à la mise en scène : Aurore EVAIN
Avec
Renaud : Antoine BERRY ROGER - Olivier : Ivan CORI - Oriane : Aurore EVAIN - Armide : Véronique LECHAT
Lumières et Régie : Romain JOCRISSE-ZURLINDEN
durée : 1 h 15
Hôtel Gouthière - 6 rue Pierre Bullet - Paris 10e - Métro Château d’Eau - Plan d’accès
Contact presse : Aurore Evain – 06 33 59 01 06 - courriel - Dossier de presse
Jean Cocteau – 1889-1963
« L’enfance croit ce qu’on lui raconte et ne le met pas en doute… C’est un peu de cette naïveté que je vous demande et, pour nous porter chance à tous, laissez-moi vous dire quatre mots magiques, véritable « Sésame ouvre-toi » de l’enfance : Il était une fois… » Jean Cocteau
1943, Renaud et Armide
Tragédie en 3 actes, l’unique pièce en vers écrite par Cocteau.
« Jean Cocteau, poète dramatique inclassable, n’appartenant à aucune famille littéraire, touche-à-tout de génie, tant à l’aise dans l’avant-garde que dans des formes plus traditionnelles, nous subjugue par la multiplicité de son talent.
Dans cette déroutante diversité, certaines constantes demeurent et traversent tous les genres… Les grands mythes antiques ou médiévaux, traités dans leurs structures classiques ou modernisés, hantent son univers théâtral ou cinématographique. De cette imagination fulgurante est né Renaud et Armide, inspiré librement de La Jérusalem délivrée, long poème épique de la Renaissance italienne relatant la première croisade.
Cocteau, déjà fasciné par les couples mythiques, s’empare de ces deux amoureux, les soumet par le pouvoir surnaturel d’une fée magicienne à des épreuves d’ordre initiatique au sein d’un jardin enchanté et maléfique dont ils sont prisonniers.
Ce conte merveilleux nous entraîne dans un ouragan wagnérien où les figures d’Ulysse, d’Orphée, d’Œdipe, des Amazones, s’entremêlent pour nous mener au terme du voyage… la Mort choisie d’Armide, non pas comme une fin, mais comme un Passage vers un au-delà onirique, par l’artifice du Miroir si cher à Cocteau. » Jean-Louis Bihoreau
Le spectacle en images...
(Photos Alain Dumur / Christophe Thuaudet)
La presse
Télévision - Radios
La Théâtrothèque.com , Yves-Alexandre Julien :
« ... une pièce trop rare au théâtre et qui mériterait assurément dans cette admirable mise en scène d’être jouée aux quatre coins de la France et au-delà de nos frontières. » Lire la suite.
Trois couleurs, le blog du meilleur de la culture de MK2, Etienne Rouillon :
« Le feu sans artifices... Nuits détonantes pour deux pièces étonnantes : un Cocteau cocasse et Shakespeare secoué au shaker Disney. LA sortie théâtre pour ceux qui ne sont pas avignonnais, du 9 juillet au 9 août. » Lire la suite.
Théâtre On Line , David Larre :
« Féérie burlesque sous les étoiles... Durant un mois, la compagnie TAL propose deux spectacles ancrés dans le travail des mythes et de l’imaginaire... » Lire la suite.